mardi 28 avril 2009

Bosnie : Semaine internationale de la langue française.Concours : les dix mots de demain

affiche_concours_bosnie



Programme Francophonie


règlement_concours

Le blog des 10 mots

Le blog des 10 mots
est une initiative de l'alliance française de Lyon à l'occasion de la Semaine de la langue française du 16 au 23 mars 20 mars et de la journée internationale de la francophonie (20 mars)...

Message d'Abdou Diouf pour la journée de la francophonie

Message SG 20 Mars 2009 Hd

La dictée 2009, par Marc Lambron

Voici, pour les amoureux des mots et des beaux textes, celui de la dictée 2009 du Mois de la Francophonie dans le Grand Lyon. Ecrite par Marc Lambron, elle contient les 10 mots de la Francophonie 2009. A savourer sans modération.

dictee

Lien pour des documents authentiques en littérature des îles

http://www.lehman.cuny.edu/ile.en.ile/paroles/index.html

Ce lien vous dirigera vers un site qui propose de nombreux extraits de littérature des îles, ainsi que des lectures, pour travailler l'oral, les accents.

Nous aurions voulu vous en proposer quelques extrits sur le blog mais nous n'avons pas les copyright...

La Francophonie partenaire du 6e Salon africain du livre de Genève

L’OIF renouvelle son soutien au Salon africain du livre, de la presse et de la culture qui aura lieu à Genève du 22 au 26 avril, sous le thème « Afrique en marche, Afrique Migrations ». Une programmation dense de rencontres et de débats est proposée autour des auteurs francophones invités tels qu’Hubert Haddad, lauréat 2008 du Prix des cinq continents de la Francophonie pour son roman Palestine.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de la politique de promotion de la langue française, des littératures francophones, de la lecture publique, et plus largement de valorisation des cultures du Sud de l’Organisation internationale de la Francophonie. Engagée en faveur de la diversité culturelle, l’OIF attribue chaque année le Prix des cinq continents qui consacre un écrivain témoignant d’une expérience culturelle spécifique enrichissant la langue française. Divers programmes permettent d’assurer la formation de professionnels de l’édition aux nouvelles techniques multimédia ainsi que la mise en place de réseaux de lecture publique composés actuellement de plus de deux cents Centres de lecture et d'animation culturelle (Clac) et de près d’une centaine de bibliothèque associées. Elle contribue au développement d’associations professionnelles telles que l'Association internationale des libraires francophones et à la création de prix littéraires pour la valorisation du français, des langues africaines et créoles ou encore pour encourager la traduction.


Programme Salon Africain

lundi 27 avril 2009

Tryo, Sortez-les!

Paroles de Tryo, Sortez-les!




programme TV







Aide à la conjugaison!

Si tout comme moi, vous avez quelques doutes concernant la conjugaison de certains verbes ;-) Ce lien va vous être très utile! Ainsi vous n'aurez pas à voyager les valises bien pleines ou à vous encombrer d'une quantité de livres! Un seul clic et vous serez fixés ;-) Malin non?

http://www.la-conjugaison.fr/

mardi 21 avril 2009

Recettes de cuisine Amérique Latine




Recettes d'Amérique Latine distribuées au RU, bravo pour cette initiative, une très bonne idée pour découvrir un peu plus d' autres cultures et leurs alimentations et un peu leurs modes de vie ;-)

lundi 20 avril 2009

Sondage réseau Education Média

Sondage_tv

Manifeste contre la publicité

4 Pages MAN Avril 2009

Télé et accompagnement parental

accomparental

Casseurs de pub

Casseurs de Pub
manifeste

Panier aux idées pour se passer de télévision

Panier

Petit dico de la pub

petitdicodelapub

Semaine Internationale sans télévision!


http://cdurable.info/Semaine-sans-ecran-du-20-au-26-Avril-2009,1646.html





mercredi 15 avril 2009

e-books gratuits

Un site qui propose des e_books téléchargeables gratuitement


http://www.ebooksgratuits.com/

lundi 13 avril 2009

Diam's. Ma France à moi




Ma France à moi

Kery James Banlieusards



Banlieusards

LE POINT : EXPOSITION - Le tag en quête de légitimité

EXPOSITION - Le tag en quête de légitimité

Par Charlotte Pons

"La première fois on me coupera la main, la deuxième c’est la peine de mort" (le tagueur Iranien ISBA) © DR

Ceux qui espéraient voir souffler un vent subversif sur le Grand Palais en seront pour leurs frais. L’ambition de l’exposition T.A.G n’est pas là, plutôt aux antipodes. "J’ai fait une promesse aux graffeurs : mettre leurs oeuvres à l’abri du temps et les faire reconnaître par les institutions comme étant des artistes", explique Alain-Dominique Gallizia, architecte et fondu d’art à l’origine de l’exposition. Reconnaître par les institutions, donc. Tâche ardue qui passe par un formatage en règle : support, format et thème imposés (une double toile horizontale de 60 x 180 cm qui parle d’amour), espace-temps maîtrisé. Venus du monde entier, les 150 graffeurs réunis par Gallizia devaient s’astreindre à tagger dans l’atelier mis à disposition à Boulogne-Billancourt, dans un laps de temps de trois jours. Voilà comment le graffiti passe de la place Beauvau au ministère de la Culture, du délit à une exposition placée sous le haut patronage de Christine Albanel.

De la rue à la demeure de Madonna

Passons sur la question de l’esthétisme, débat sans fin selon la sensibilité du public et qui peut vite tourner café du commerce. Disons simplement que certaines toiles toucheront au cœur, quand d’autres laisseront totalement indifférent, voire alimenteront les arguments des détracteurs. Passons encore sur la question du vandalisme. Le tag est puni par la loi, on le sait. Et les arguments de l’architecte - " la rue est triste", "le tag est proportionnel à la surface d’espace non géré par la ville et l’État est de moins en moins présent dans ce qu’il possède" - ne devraient pas convaincre les pouvoirs publics. Passons, car le débat n’est pas là. Il n’est même pas dans la soif de reconnaissance dont seraient avides les tagueurs, si l’on en croit Dominique Gallizia. Las ! Il s’agit pour beaucoup de quinquagénaires évoluant dans des milieux dits branchés. Celui-ci customise les guitares d’Eric Clapton, celui-là habille les murs de la maison de Madonna, l’autre théâtralise les boutiques Nike ou Reebok... Certes, on nous l’assure : certains sont sous le coup d’une procédure judiciaire. Ouf, voilà qui devrait conforter les bien-pensants dans leurs opinions. Mais beaucoup voient leurs oeuvres se négocier à six chiffres en salles des ventes. Loin des scribouillards qui taguent comme on laisse une trace dans un bar un soir d’ivresse. Mais loin aussi d’une certaine culture hip-hop qui, sans chercher à faire passer un message politique, n’imagine pas le graff ailleurs que dans la rue.

Quid de la transgression ?

Le débat serait donc : est-ce le support et l’espace-temps qui font le tag ? En ce sens, en investissant les murs immaculés de la vénérable institution, le tag se dénaturerait. Des arguments que Gallizia balaie d’un revers de la main. Après tout, aucun ouvrage ou presque ne théorise cet art, tout est donc permis. Oui mais : quid de la fulgurance ? De l’éphémère ? De la transgression ? Autant de choses qui dans l’imaginaire collectif sont intrinsèques au tag. Quid "des bombes avec lesquelles [exercer] dans l’ombre, stimulé par la pénombre" comme le chantaient Kool Shen et Joey Starr dans Paris sous les bombes . C’est une épopée graffiti d’une autre envergure que nous contait NTM en référence au Paris des années 1980, envahi par la couleur. Peut-être parce qu’elle avait le goût du défi. "Il y a un défi mais il n’est pas dans la transgression. C’est un défi artistique", explique Alain-Dominique Gallizia. À l’écouter raconter ces trois années écoulées, où les graffeurs se sont livrés à des joutes picturales dans son atelier, force est d’admettre que l’énergie est bien là. Qu’il n’est pas besoin de la rue. Le défi devient alors celui de raconter une histoire du tag, non pas l’histoire. Et il n’est pas certain que cette histoire-ci ait une influence sur celle, plus sociétale qu’artistique, qui se joue aux alentours des gares et dans les tribunaux de France.

Le T.A.G au Grand Palais, du 27 mars au 26 avril.
Plein tarif : 5 euros.
Tarif réduit : 3 euros

mercredi 8 avril 2009

Loi antigang

Voici ce qu'on trouve sur le site du Figaro:

Loi antibandes :ce que prépare l'Élysée.


Le texte définitif, que Le Figaro s'est procuré, incrimine la participation à un groupe violent. Il aggrave aussi les sanctions contre les agresseurs d'enseignants.

Un texte musclé. Le Figaro a eu accès à la proposition de loi destinée à renforcer, comme l'a dit mercredi sur Europe 1 Nicolas Sarkozy, «l'arsenal législatif contre les bandes». Pour cause d'encombrement du calendrier parlementaire, ce texte sera en effet présenté par un groupe de députés. Christian Estrosi, le député maire de Nice, en sera le rapporteur.

Disposition phare : le nouveau délit de participation à une bande violente sera puni de trois ans de prison et 45 000 euros d'amende. Il suffira, pour cela, de «faire partie, en connaissance de cause, d'un groupement, même formé de façon temporaire, qui poursuit le but, caractérisé par un ou plusieurs faits matériels, de commettre des violences volontaires contre les personnes ou des destructions ou dégradations de biens». Ces sanctions «sont également applicables à la personne qui, sans être elle-même porteuse d'une arme, participe volontairement à un attroupement dont une ou plusieurs personnes portent des armes apparentes».

Selon Christian Estrosi, il s'agit de «combler une faille juridique», car l'infraction bien connue d'association de malfaiteurs ne peut s'appliquer aux émeutiers. Il leur faut, affirme l'élu niçois, un texte «adapté». Prenant les devants de l'inévitable polémique sur la tentation de ressusciter la loi anticasseurs de 1970 qui créait une sorte de responsabilité collective en cas de troubles, un préfet assure qu'« il ne s'agit nullement de créer une infraction qui incrimine le badaud ou le simple fait de se réunir à trois au pied d'un immeuble».

«Interdiction du territoire français»

La police est en fait confrontée aujourd'hui à une difficulté : il ne lui suffit pas d'arrêter l'émeutier, il lui faut en plus prouver que la main du délinquant a bien lancé le caillou. «Or ces voyous sont malins, explique un officier des CRS. Le plus souvent, ils agissent avec des gants, le visage masqué par une capuche.» Pas vus, pas pris. La justice les relâche faute de preuves. La disposition antibandes pourrait changer la donne.

Le nouveau texte va notamment rendre obligatoire le versement en procédure des films faits par la police lors de ses interventions. Il sera consulté par le juge uniquement en cas de contestation. La police veut ainsi se protéger des accusations mensongères.

Mais l'arsenal législatif de Sarkozy va plus loin. En milieu scolaire, «le fait de pénétrer ou de se maintenir dans l'enceinte d'un établissement» sans autorisation est désormais puni d'un an de prison et 7 500 euros d'amende. L'envahir en groupe peut valoir à chacun trois ans d'emprisonnement et 45 000 euros. Si l'intrus est seul, mais armé, même d'un bâton, il risque cinq ans de prison et 75 000 euros d'amende. Et si c'est un groupe dont au moins l'un des membres porte une arme, la peine passe à sept ans de prison et 100 000 euros. Sans compter les peines accessoires : «interdiction des droits civiques» ou de «séjour». «L'interdiction du territoire français» peut même être prononcée, «soit à titre définitif, soit pour une durée de dix ans au plus , à l'encontre de tout étranger coupable» d'avoir envahi un collège ou un lycée avec une arme . Agresser un professeur, un agent de vie scolaire ou leurs proches devient même une circonstance aggravante.

Un article de Jean-Marc Leclerc, le 02/04/2009.

Comment traiter la question de la délinquance: prévention ou répression? Et dans votre pays, comment ça se passe?

Classement 2009 des lycées

Sur le site du Figaro, voici ce qu'on trouve:

A partir de chiffres fournis par le ministère de l'Education nationale sur l'efficacité et la réussite des lycées, Le Figaro a établi ses propres paramètres de calcul pour réaliser son palmarès. Explications.

L'esprit de notre palmarès.
En publiant chaque année des indicateurs de résultats des lycées, le ministère de l'Education nationale dit avoir pour objectif de «rendre compte des résultats du service public national d'éducation et donner des outils aidant à améliorer son efficacité». Réaliser un palmarès permet, à chaque élève ou parent d'élève, de situer un établissement - ancien, actuel ou futur - parmi l'ensemble des lycées de France. Plus qu'un résultat précis, la position dans le classement donne une idée, une tendance, de l'efficacité du lycée donné.

Comment mesurer l'efficacité ?
Pour beaucoup, l'efficacité d'un lycée tient à son seul taux de réussite au baccalauréat. Les lycées voyant tous leurs élèves de terminale ou presque obtenir le baccalauréat seraient alors les meilleurs de France. Certes, ce paramètre est évidemment important, mais il doit être relativisé, et ne pas être le seul pris à compte. Ce critère compte donc pour deux cinquièmes du classement final.
La capacité à faire progresser les élèves. Parmi les autres indicateurs transmis par le ministère de l'Education nationale, Le Figaro a décidé d'en prendre plus particulièrement deux en compte. Le premier concerne la capacité à faire progresser un élève. Chaque année, le ministère évalue à travers des critères objectifs le taux de réussite au baccalauréat auquel un lycée peut prétendre, en fonction de l'origine sociale de ses élèves, de leur niveau scolaire à l'entrée en seconde, de leur âge, etc. Si un lycée parvient à faire «mieux que prévu» au baccalauréat, le calcul du Figaro permet de le «récompenser» par une note positive. Caricaturalement, un lycée favorisé, ayant des élèves brillants dès leur entrée au lycée et dont l'origine sociale est aisée, aura «moins de mérite» à avoir un taux de réussite au baccalauréat très élevé, et sera donc «moins récompensé» que les établissements défavorisés. Ce critère compte pour deux cinquièmes du classement final.
Sélection ou accompagnement ? Troisième et dernier critère pris en compte dans l'établissement de notre palmarès, l'accompagnement des élèves durant leur scolarité dans un lycée. La valeur ajoutée du taux d'accès de première au baccalauréat permet de repérer les lycées qui n'hésitent pas à se séparer des «mauvais éléments» à l'issue de la classe de première, afin d'avoir un taux de réussite maximal à l'examen. Ces lycées «sélectifs» seront moins favorisés que les lycées «accompagnateurs», qui acceptent de faire redoubler leurs élèves, pourvu qu'ils aient le baccalauréat au terme de la scolarité. Ce critère compte pour un cinquième du classement final.

Lycées non classés.
Certains établissements ont été exclus de notre palmarès, selon trois cas de figure. Le premier concerne les lycées professionnels, dont les spécialités proposées sont très différentes selon les établissements (des métiers du bâtiment à ceux de l'alimentation en passant par la comptabilité ou l'électrotechnique marine…), et ne permettent donc pas une comparaison équitable entre les lycées. Le second cas de figure concerne les lycées généraux ne comprenant que des filières technologiques (sciences médico-sociales, techniques de la danse, arts appliqués…). Le troisième et dernier cas d'exclusion touche les établissements qui ont présenté moins de 50 élèves aux épreuves du baccalauréat.

Un conseil aux parents.
La position d'un lycée doit évidemment être prise à titre indicatif, et ne donne qu'une tendance. Inscrire votre enfant dans un lycée dont le taux de réussite est de 100% mais où la concurrence et la sélection sont fortes, s'il a besoin d'accompagnement, sera une erreur. Il faudra dans ce cas privilégier un lycée où la valeur ajoutée de la réussite au baccalauréat est élevée, signe statistique d'une capacité à faire progresser l'élève.

Article de Bastien Hugues (lefigaro.fr) 08/04/2009.

Un document qui peut amener à la discussion pour des apprenants de niveaux C1 /C2.

jeudi 2 avril 2009

SEMAINE SANS PESTICIDE

Aznavour et Hulot : La terre meurt

La Terre Meurt

Zapping écologique

Recyclons!

Programmeecologie

REFERENDUM. Les réactions des politiques à la victoire du ’oui’

Mayotte

musique

En ce qui concerne la musique Mahoraise, je vous renvoie vers le meilleur site que j'ai trouvé!


http://www.la-musique-mahoraise.com/

Recette de hérisson à la tomate

Hérisson à la tomate / Landra ya tomati / Tandraka an matimati

Pour 6 personnes

Ingrédients

2 hérissons
1 boîte de tomates pelées
3 citrons

oignons
piment
sel
2 cuillères à soupe d'huile

Hérisson

Préparation
  • Egorgez les hérissons. Coupez-leur la tête.
  • Allumez le feu pour faire chauffer de l'eau.
  • Mettez les hérissons dans l'eau bouillante trente secondes. Retirez-les de l'eau puis enlevez leurs poils.
  • Enlevez les intestins des hérissons. Lavez-les bien.
  • Ensuite, découpez-les en petits morceaux.
  • Epluchez les oignons. Coupez-les sans vous couper les doigts.
  • Mettez les morceaux de hérisson dans une casserole. Ajoutez les tomates pelées, l'huile, les oignons,le piment et le sel.
  • Coupez les citrons. Pressez leur jus dans la casserole.
  • Faites cuire environ 30 mn.
  • Mangez ce plat avec du riz ou du batabata.

Carte de Mayotte

Départementalisation de Mayotte

Mayotte